« Tu, preparati a morire si mentire ti vedrò (Haendel versus Ruiz de Infante) »

Ici je voudrais partager quelques expériences : Un arrêt de bus, une archéologie de soufflements forts dans le verre, une série de spectacles ésotériques dans lesquelles le son est moteur et piège… et si temps il y a (je l’espère) une chanson de Haendel écrite cela fait 289 années et remise en boucle avec quelques complices (je l’espère) ce soir-là.